La vie de Laurent a quelque chose d’un drame shakespearien. Il y a l’enfant, d’une sensibilité exacerbée, en perpétuelle quête d’amour et d’attention de la part de parents trop souvent absents. Puis la jeunesse marquée par la solitude, par le sentiment d’être considéré comme un élément secondaire par rapport au frère aîné.